Dans le cadre d’une cession de bien immeuble appartenant à un non-résident, le Code général des Impôts a soumis celle-ci à une imposition des plus-values. Cette dernière s’accompagne de deux formalités auxquelles le cédant ne peut se soustraire sous peine de sanctions.
Tout d’abord, le législateur a contraint le non-résident à déclarer sa plus-value. Cette obligation de
déclaration demeure
qu’il y ait ou pas de
plus-value immobilière
taxable. Si le cédant est une personne physique et qu’elle est exonérée à cause d’une durée de détention ou d’un prix de vente inférieur à 15 000 €, la déclaration n’est pas requise.
L’exigence d’un représentant fiscal a été également l’une des innovations apportées par le législateur. En effet, tout contribuable non-résident fiscal en dehors de l’Union Européenne réalisant une opération de cession immobilière doit s’acquitter de ses obligations fiscales en faisant appel aux services d’une banque implantée en France, d’une personne agréée par l’administration fiscale ou encore de l’acquéreur si celui-ci réside fiscalement en France. Seules exceptions voulues par le législateur, le cédant est dispensé de cette obligation si le prix de vente est inférieur à 150.000€ ou si le bien est détenu depuis plus de 30 ans.
Pour éviter les mauvaises surprises, il est conseillé, dans le cadre de la procédure de déclaration des plus-values immobilières, de contacter un représentant accrédité.
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est la société recommandée pour ce genre d’opération.